Né(e)s dans la mauvaise société — Notes pour une critique féministe et socialiste du phénomène trans

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Je le pré­com­mande — Livrai­son juin 2023

« Tran­si­den­ti­té », « trans­genre », « cis­genre », « xéno­genre », « genre fluide », « non binaire », « iden­ti­té de genre », « affir­ma­tion de genre », « tran­si­tion de genre », « per­sonnes à vulve », etc. Un nou­vel ensemble d’idées concer­nant le sexe, le genre, la nature et la com­po­si­tion de l’humanité, cherche — et par­vient — actuel­le­ment à s’imposer socia­le­ment. Son intro­ni­sa­tion, ava­li­sée et célé­brée par la plu­part des médias de masse, par les ins­ti­tu­tions médi­cales, par un cer­tain nombre de gou­ver­ne­ments par­mi les plus puis­sants du monde (États-Unis, Cana­da, Alle­magne, Aus­tra­lie, etc.) et par les prin­ci­pales orga­ni­sa­tions supra-éta­tiques (Union Euro­péenne, ONU), est pré­sen­tée comme un for­mi­dable « pro­grès » humain.

Comme nous nous pro­po­sons de le mon­trer ici au tra­vers d’une col­lec­tion de notes por­tant sur divers aspects du phé­no­mène trans, de ses ori­gines his­to­riques à ses mani­fes­ta­tions contem­po­raines les plus étranges, en pas­sant par les méthodes et les argu­ments qu’emploient les pro­sé­lytes de la « tran­si­den­ti­té », la réa­li­té est tout autre. Son expan­sion s’inscrit par­fai­te­ment dans les logiques mar­chandes et indus­trielles, d’où son appro­ba­tion par les prin­ci­pales ins­ti­tu­tions du capi­ta­lisme glo­bal, et porte par­ti­cu­liè­re­ment pré­ju­dice aux femmes et aux enfants.

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Dimensions21 × 15 × 1,7 cm