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illusions vertes

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Selon Bill McKibben, les panneaux solaires : « c’est de la magie digne de Poudlard » (par Nicolas Casaux)

À la suite de la diffusion du film Planet of the Humans, réalisé par Jeff Gibbs, et produit par Michael Moore et Ozzie Zehner, dont nous vous proposons ici une version sous-titrée en français, Bill McKibben, le fondateur de l'ONG 350.org, dont l’hypocrisie et la duplicité sont bien exposées dans le documentaire, s’est fendu d’une petite réponse, espérant ainsi limiter les dégâts, ou redorer son blason. L’absurdité de sa réponse appelle quelques remarques sur Bill McKibben et son ONG. [...]
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Planète des humains ou Comment le capitalisme a absorbé l’écologie (par Michael Moore, Jeff Gibbs, Ozzie Zehner)

Nous vous proposons une version sous-titrée en français du film documentaire Planet of the Humans (« Planète des humains »), dont Michael Moore est le producteur exécutif, Ozzie Zehner un coproducteur, et Jeff Gibs un autre coproducteur, et le réalisateur. Un documentaire qui expose des réalités très rarement discutées concernant les soi-disant « énergies vertes », « propres » ou « renouvelables », mais des réalités que les lecteurs de notre site connaissent déjà, très certainement, étant donné que nous avons publié de nombreux articles sur le sujet. [...]
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Reporterre, Mr Mondialisation, Les Échos et la promotion des illusions vertes (par Nicolas Casaux)

Parmi les nombreuses balivernes colportées afin d’encourager le développement des industries des énergies dites « vertes », « propres » ou « renouvelables » — et notamment celles du solaire et de l’éolien —, dans l’optique de donner à croire qu’il pourrait exister une civilisation techno-industrielle « verte », « propre » ou « renouvelable », on retrouve cette idée selon laquelle, au surplus, recourir à ces technologies permettrait aux petites gens de récupérer « le pouvoir », ou « du pouvoir ». [...]
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Glenn Albrecht, un écocharlatan parmi d’autres (par Nicolas Casaux)

Le Monde, Usbek et Rica, Liberation, France Culture, Le Nouvel Obs, Franceinfo, Europe 1, L’Express, Les Inrocks, Reporterre, Thinkerview, etc., Glenn Albrecht, anciennement « professeur de développement durable » à l'université de Murdoch en Australie occidentale, est décidément à la mode ces derniers temps. Même le gourou de la collapsosophie, Pablo Servigne, signe, dans L’OBS, un article de promotion de la publication chez Les Liens qui Libèrent d’une traduction française du livre de Glenn Albrecht. [...]
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Les marchands d’illusions vertes occidentaux, des USA à la France, de Bill McKibben à Cyril Dion (par Nicolas Casaux)

Dans les États occidentaux — mais ailleurs aussi, selon toute probabilité — il existe un microcosme de personnalités écologistes autorisées et régulièrement invitées dans les médias de masse, assez appréciées des autorités de leur pays respectif, et qui, pour ces raisons, représentent à elles seules, aux yeux du grand public, la mouvance écologiste. « La » mouvance, parce que ces écologistes font grosso modo la promotion des mêmes idées, des mêmes croyances. Ils se congratulent d’ailleurs régulièrement les uns les autres, faisant immanquablement référence aux travaux des uns et des autres dans leurs différents ouvrages — édités par d’importantes maisons d’édition, ou produits par d’importantes boites de production, et chroniqués dans les plus grands quotidiens. [...]
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Confessions d’un écologiste en convalescence (par Paul Kingsnorth)

L’auteur des paragraphes qui suivent, Paul Kingsnorth, est un journaliste et activiste britannique. Au cours de sa carrière, Kingsnorth a travaillé pour The Independent, pour Greenpeace, a été rédacteur en chef du célèbre magazine The Ecologist, a écrit pour The Guardian, et beaucoup d’autres médias prestigieux, a co-fondé la campagne « Free West Papua », a œuvré au sein du groupe EarthAction, et bien d’autres choses encore. Il y a quelques années, il a décidé de quitter le milieu de l’écologie, de raccrocher les gants. Pour expliquer sa décision, il a publié un livre, une collection d’essais intitulée Confessions of a Recovering Environmentalist (Confessions d’un écologiste en convalescence), dont voici un petit extrait, rapidement traduit (le livre ne l'a pas encore été) :
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Derrière les idées reçues : à propos de la centrale solaire prévue à Barrettali, dans le Cap Corse (par Nicolas Casaux)

Sur le territoire de la petite commune de Barrettali, dans le Cap Corse, la société Corsica Verde s’apprête, en coopération avec la mairie, à installer une centrale solaire au sol, « sur le flanc Sud d’un vallon actuellement occupé par du maquis ». Le projet occupera une superficie totale de 119 040 m² (11,9 ha), dont environ 6,5 ha pour les 17 232 panneaux photovoltaïques (modules polycristallins) qui seront posés. D’après ses promoteurs, la réalisation de cette centrale est tout à fait positive pour les raisons habituelles, celles que donnent tous les promoteurs de ce genre de projet. Produire de l’énergie « verte » est une bonne chose, cela s’inscrit dans une dynamique qui rend plus « verte », plus « durable » notre société. Cela participe au développement économique de la commune et de la région, à l’augmentation de leur « autonomie énergétique », etc. Qu’en est-il en réalité ?